Parfois avouées, parfois cachées, les influences de George Lucas pour produire son premier Star Wars sont nombreuses, connues et analysées depuis très longtemps ! Mais la franchise de Lucas a également eu un gros impact tant dans le paysage de la SF que dans la culture populaire dans son ensemble. Les gars de Shutterstock et de Pop Chart Lab ont décidé de décrypter ses influences à travers une infographie très réussie.
Avec 6 films et bientôt un 7ème avec la sortie de Star Wars : The Force Awakens en fin d’année, l’univers innove déjà par la notion même de franchise cinématographique. Si la trilogie du Parrain avait lancé la tendance des sagas en 3 parties, le succès phénoménal de la première trilogie Star Wars a considérablement changé la façon dont les films sont maintenant écrits, produits, et lancés.
La trilogie est devenue la référence de la franchise à succès comme les sagas Retour vers le futur ou Matrix.
L’univers Star Wars est particulièrement dense et travaillé. Les habitations paraissent occupées, les vaisseaux sont utilisés voire usés, les mondes portés à l’écran semblent exister depuis des millions d’années. Le spectateur est projeté dans une réalité, certes imaginaire, mais qui lui donne l’impression de réellement visiter une galaxie lointaine, très lointaine.
Ces univers réalistes ont beaucoup influencé les productions de science fiction qui ont tour à tour proposé leur vision de ce futur imparfait en mode punk pour Blade Runner, cartoon pour le Cinquième Element, complètement déjanté chez Mad Max,…
Star Wars a également su innover en donnant des rôles centraux aux personnages féminins. La princesse Leia poursuit ses propres plans tout au long de la première trilogie, elle n’est pas le faire-valoir des héros masculins.
Et ouvre ainsi la voie pour d’autres héroïnes badass qui n’ont pas froid aux yeux : Leeloo, Buffy, Ripley ou plus récemment la Katniss de The Hunger Games.
Parmi les personnages préférés des fans de la saga C-3PO et R2-D2 sont les premiers droïdes superstars du cinéma !
Les seuls bips de R2-D2 ont d’ailleurs donné des idées à Pixar qui porte à l’écran Wall-E avec aucun dialogue dans la première moitié du film !
Et puis il y a Chewbacca et ses grognements et grondements inaudibles et immédiatement reconnaissables depuis plus de 30 ans.
Bien avant que le « Je suis Groot » des Gardiens de la Galaxie ne soit prononcé !
